Rayonnement des téléphones mobiles Faut-il revenir à l’âge de pierre ?
Utiliser la technologie moderne – sans effets nocifs
Utiliser la technologie moderne – sans effets nocifs
Le smartphone a évolué du « téléphone » à un produit Lifestyle, devenu pour beaucoup un compagnon de tous les instants :
Mais le prix de ce mode de vie et de la communication permanente est élevée : de plus en plus d’études en viennent à la conclusion que le rayonnement des téléphones mobiles affecte les tissus et conduit à des ruptures de l’ADN.
Ceux qui ne veulent pas être limités dans leur mode de vie ni dans l’utilisation du téléphone mobile, de la tablette ou autre, et veulent cependant prendre soin de leur santé (et de celle de leurs enfants) ont recours à la technologie memon.
Le fait est que les téléphones mobiles émettent des champs électromagnétiques haute fréquence, c’est-à-dire qu’ils fonctionnent dans la gamme de fréquences entre 900 et 1 800 mégahertz (MHz = 1 million de cycles par seconde).
Ce qui est insidieux c’est que l’on ne peut pas voir, sentir ni toucher les rayons.
Celui qui a déjà entendu la connexion d’un fax ou celle d’un vieux modem 56k aux premiers jours de l’Internet sait comment ce bruit peut être désagréable.
Le rayonnement haute fréquence est un stress électrique pur – pour les humains comme pour les animaux.
Toujours plus d’antennes émettrices, toujours plus de puissance
Au cours des dernières années, des technologies sans cesse améliorées et des capacités de plus en plus élevées ont été développées par les opérateurs de téléphonie mobile afin de transmettre un volume de données toujours plus grand, plus rapidement.
L’un des derniers standards de la téléphonie mobile est la LTE (Long Term Evolution, également appelée 3,9G). La LTE est une nouvelle technologie de la quatrième génération de téléphonie mobile, qui est basée sur les réseaux 3G et qui permet un transfert de données à des vitesses beaucoup plus élevées par rapport à la technologie précédente, l’UMTS.
Le nombre d’antennes de téléphonie mobile installées ne cesse d’augmenter, afin d’assurer la couverture du réseau à 100 %, même dans les zones rurales. Les antennes de téléphonie mobile font désormais partie de notre vie quotidienne, car elles garantissent la possibilité d’utiliser un téléphone mobile sans interférences, à n’importe quel endroit et 24 heures sur 24.
Le revers de la médaille : elles rayonnent 24 heures sur 24. Certes pas directement à notre oreille comme un téléphone mobile, mais avec dix fois plus de puissance. Les signaux radio numériques tels que les signaux radio pour les téléphones mobiles, la WiFi, le Bluetooth, les ordinateurs portables, les PC ou même la télévision ou la radio numérique fonctionnent avec une forme spécifique de champs électromagnétiques haute fréquence : ils se caractérisent par des impulsions puissantes se succédant très rapidement et ne transmettent pas de façon continue contrairement aux ondes radio haute fréquence.
À long terme, on peut supposer que la quantité d’applications de communication sans fil ne cessera d’augmenter, avec une pollution électromagnétique agissant sur nous de façon constante et durable. Et tout ceci d’une manière et avec une intensité jusque là inégalée. Dans ce contexte l’exigence d’une protection adéquate contre le rayonnement des téléphones mobiles se fait plus forte.
Quelles sont les valeurs limites légales
Pourquoi les données sur les valeurs limites sont trompeuses
Souvent sur les téléphones mobiles, une valeur DAS est spécifiée (débit d’absorption spécifique, SAR en anglais).
Plus la valeur DAS est élevée, plus les tissus sont chauffés par le rayonnement. Les valeurs limites applicables en Allemagne pour les champs électromagnétiques sont basées sur les recommandations de la « Commission internationale pour la protection contre les rayonnements non ionisants » (ICNIRP) et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
La limite supérieure recommandée par l’Organisation mondiale de la santé est de 2,0 W/kg. Cependant, la valeur limite applicable est basée sur l’intensité du rayonnement et ne protège donc que contre un danger thermique. L’existence d’un risque résultant des effets biologiques du rayonnement électromagnétique est complètement nié et fermement refusé.
Le Dr Joachim Mutter écrit à ce sujet : « Ceci revient à définir les effets sur la santé du tabagisme en se basant uniquement sur le réchauffement des poumons par la fumée de cigarette pendant 30 minutes de consommation. »
Un danger particulier pour les enfants et les femmes enceintes
En raison de leur constitution et de leurs caractéristiques physiques encore en développement, les enfants sont exposés plus intensément au rayonnement nocif des téléphones mobiles. Par conséquent, les experts ne sont pas les seuls à recommander vivement que les enfants de moins de 16 ne téléphonent pas, car le risque potentiel pour la santé ainsi généré est anormalement élevé pour les enfants.
Plus précisément, la tête et le cerveau des enfants subissent un impact environ deux fois plus élevé que ceux des adultes (mesure de la valeur SAR), leur crâne étant plus mince et la distance à l’antenne d’un téléphone mobile étant par conséquent plus courte.
L’organisme de l’enfant et de l’adolescent réagit généralement avec plus de sensibilité au rayonnement des babyphones, des téléphones sans fil DECT, des ordinateurs en Wi-Fi et des routeurs Wi-Fi, des téléphones mobiles et des antennes de téléphonie mobile que celui des adultes.
Par exemple, la tête d’un enfant reçoit beaucoup plus de rayonnement que celle d’un adulte en raison de sa petite taille et des os du crâne plus minces. Il est donc d’autant plus important de protéger en particulier les enfants des dangers de la pollution électromagnétique.
Cela signifie que même les zones les plus profondes du cerveau – particulièrement sensibles, comme par exemple l’hypophyse – sont irradiées. Selon l’état actuel des connaissances, des données probantes attestent que le rayonnement radio mobile, tel que celui produit par les téléphones mobiles, les consoles de jeux, tablettes, PC, imprimantes et autres applications, peut nuire à la santé.
L’Agence européenne pour l’environnement a placé en 2007 les dangers potentiels du rayonnement radio mobile au même niveau que l’amiante et les PCB. En Russie, la Commission russe de protection contre les rayonnements (RNCNIRP) dans un appel urgent lancé en 2007, met en garde contre les risques du rayonnement radio mobile pour les enfants et les adolescents : L’utilisation que l’on prévoit plus fréquente à l’avenir des téléphones mobiles rend probable la formation de tumeurs dès l’âge de 25 à 30 ans et de syndromes dépressifs, de démence et autres dégénérations des nerfs du cerveau à l’âge de 50 à 60 ans.
Le Bundestag allemand a lui aussi mis en garde en 2003 dans son rapport de la Commission de l’éducation, de la recherche et de l’évaluation des répercussions technologiques (19e comité) – « Aspects de santé et écologiques relatifs aux télécommunications mobiles et aux émetteurs – Discours scientifique, nécessité de réglementation et débat public », 2003 : « les enfants et autres personnes spécialement sensibles (NDLR : personnes enceintes) doivent utiliser les téléphones mobiles avec une attention particulière ou avec retenue. Dans la mesure du possible, il est généralement conseillé aux utilisateurs de téléphones mobiles d’utiliser un casque audio ou un dispositif équivalent. En ce qui concerne les casques audio et les kits mains libres, la recherche doit être intensifiée en conséquence car il existe très peu d’études sur cette problématique. »
La commission compétente du Conseil de l’Europe (Commission de l’environnement, de l’agriculture et des affaires locales et régionales) a également abordé le problème et appelle dans une résolution adoptée à un revirement dans la politique actuelle en matière de téléphonie mobile. La résolution stipule entre autres que la population encourt un grave danger, en particulier en ce qui concerne les adolescents et les enfants. Les valeurs limites devraient donc être révisées de toute urgence et, selon la recommandation du comité, les téléphones mobiles devraient être interdits dans toutes les écoles et les salles de classe. En outre, toutes les mesures raisonnables doivent être prises pour réduire les champs électromagnétiques.
À gauche le sang à l’état normal. Image au centre : après 5 minutes d’utilisation du téléphone mobile SANS memonizerMOBILE.
Image de droite : le sang pendant l’utilisation du téléphone mobile AVEC memonizerMOBILE.
On voit ici que le memonizerMOBILE protège efficacement contre les effets négatifs du rayonnement haute fréquence (pollution électromagnétique).